Apprendre l’anglais à un âge précoce : les 10 bénéfices majeurs

 In Méthodes d'apprentissage, Pédagogie

Dans notre société mondialisée, apprendre l’anglais est devenu incontournable. Certes, les locuteurs natifs qui pratiquent le mandarin ou l’hindi sont plus nombreux. Mais l’anglais est de loin la langue la plus étudiée dans le monde. Et la plus influente. En effet, c’est la langue la plus pratiquée en 2e ou 3e langue.

S’il est possible d’apprendre une langue à tout âge, il est conseillé d’apprendre une langue le plus tôt possible.  

Apprendre l’anglais, une pratique qui commence de plus en plus jeune

Sur le marché de l’emploi, en France et en Europe, savoir parler anglais est indispensable. Nombreux sont les employeurs qui l’exigent et c’est la première langue utilisée dans les échanges internationaux. Tout comme le français a pu influencer – et c’est toujours le cas actuellement – la culture anglo-saxonne, la langue de Shakespeare imprègne énormément la culture française.

Plus les années passent, plus l’anglais est présent dans notre quotidien. Désormais, l’Education Nationale l’intègre d’ailleurs dans les programmes scolaires dès le CP. À tel point que certains parents se questionnent sur le bien-fondé d’apprendre l’anglais si jeune.

Beaucoup se questionnent  : pourquoi faut-il initier les enfants aussi tôt à la langue anglaise ? Quelles conséquences si mon enfant attend quelques années de plus pour apprendre l’anglais ?

Voici les principales raisons d’apprendre l’anglais dès le plus jeune âge.

 

Les 10 bénéfices d’un apprentissage précoce de l’anglais.

1 / Profiter d’une oreille en construction : confronter l’enfant à l’anglais dès son plus jeune âge, c’est profiter d’une oreille en plein développement. Cela lui permet d’accueillir la langue avec envie et curiosité sans se poser de questions sur son fonctionnement.

2/ Se familiariser avec la structure : cela permet d’habituer l’enfant à la prononciation, aux intonations particulières et aux expressions typiquement anglaises. De plus, l’enfant est familiarisé avec la logique même de la langue. Plus tard, cette logique perd de son évidence.

3/ Atteindre un niveau comparable à celui d’un natif : pour atteindre plus tard un niveau équivalent à celui d’un natif, la seule solution est d’être confronté à la langue dès le plus jeune âge. Des études ont démontré qu’à l’adolescence, les capacités à apprendre la grammaire d’une langue étrangère diminuent. Par ailleurs, plus tard commence l’apprentissage, plus il est difficile d’atteindre une prononciation de très bon niveau.

4/ Commencer par une langue relativement facile à apprendre : l’anglais, par rapport à d’autres langues, est assez facile à apprendre. Cela s’explique par le nombre importants de locuteurs et de possibilités d’apprentissage. Il faut aussi noter que la grammaire et la conjugaison anglaise sont construites de manière assez simple. Bien plus que la langue française.

5/ Ouvrir son esprit à d’autres cultures : donner à votre enfant, naturellement ethnocentré, une idée plus précise de l’ampleur du monde et de la grande variété de cultures. C’est aussi lui permettre d’élargir son champ des possibles, de l’amener à s’intéresser à une culture différente de celle de ses parents, de s’en enrichir et ainsi de développer son esprit critique.

6/ Développer des mécanismes d’apprentissage : amener l’enfant à s’approprier, de façon indolore et sans qu’il ne s’en rende compte, des mécanismes d’apprentissage qui lui seront utiles dans d’autres activités et matières scolaires.

7/ Faciliter l’apprentissage de nouvelles langues : faciliter l’apprentissage d’autres langues étrangères. En effet, apprendre une nouvelle langue est chaque fois plus simple que la précédente.

8/ Favoriser sa créativité et stimuler son imagination : un enfant confronté à de multiples points de vue et qui s’exprime dans des langues différentes est plus à même de faire preuve d’inventivité.

9/ Lui offrir un apprentissage utile sur le long terme : pour l’enfant en bas âge, apprendre l’anglais est un véritable investissement à long terme. Que cela soit dans sa vie personnelle ou dans sa vie professionnelle future, apprendre l’anglais et développer ces compétences tôt lui serviront pour toujours.

10/ L’accompagner dans son parcours scolaire : inciter son enfant à apprendre l’anglais de manière précoce, c’est participer à sa progression et son évolution. Sans oublier la fierté que vous ressentirez en observant ses progrès.

 

Exposer son enfant à l’anglais dès son plus jeune âge

On oublie souvent tous les efforts intellectuels et toutes les heures passées à acquérir notre langue maternelle. Puis à en maîtriser la grammaire, la conjugaison, développer son vocabulaire, etc.

Alors pourquoi penser que l’apprentissage d’une langue étrangère est différent ?

Apprendre l’anglais, comme toute autre langue, demande beaucoup de pratique et de temps. Cela demande également de la patience, qualité qui se perd progressivement avec les années.

Malheureusement, nous ne connaissons pas encore de méthode pour introduire instantanément dans notre cerveau tout le savoir que l’apprentissage d’une langue demande. Donc, pour l’instant du moins, il n’y a pas de secret : cela demande du travail. Exposer son enfant à l’anglais dès le plus jeune âge permet de rendre ce travail moins difficile. Pourquoi ? Tout simplement car une grande partie de l’apprentissage se fait spontanément et sans en avoir véritablement conscience.

Des heures et des heures de pratique sont nécessaires. Alors autant s’y mettre tôt et ainsi multiplier les occasions de pratiquer, avec différents interlocuteurs.

Un potentiel d’apprenant démultiplié

Dans les ateliers d’Homelike Acquisition, les enfants sont initiés à l’anglais à partir de 3 ans en présentiel. Et à partir de 5-6 ans à distance, selon le degré d’autonomie.

Par ailleurs, nous donnons régulièrement aux jeunes parents des idées pour mettre leur(s) enfant(s) en contact avec la langue, de façon naturelle et progressive, dès la naissance et de leur domicile.

Le plus important, est, encore une fois, de profiter du formidable potentiel d’apprenant de l’enfant. Sa “plasticité auditive” en fait un être très perméable à toute nouvelle sonorité ou tout nouveau mot de vocabulaire entendus.

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